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atunoa
Reviews
Case départ (2011)
Enfin on parle de l'esclavage!
Ce film est un des meilleurs de 2011 tant le sujet est important mais aussi parce que les scénaristes et réalisateurs qui sont aussi les acteurs principaux sont LA révélation de l'année. Sur le ton de l'humour, l'esclavage, le plus grand crime de l'humanité, est enfin abordé au cinéma. Le rapprochement avec "la vie est belle" est tentant, surtout par le ton de la comédie humoristique, mais la réussite de la comédie est bien plus grande dans "Case départ". Sans trop s'éloigner de la réalité historique, les auteurs nous font découvrir le quotidien de toutes ses personnes qui n'ont jamais eu l'occasion d'exister dans nos mémoires tellement les génocides du vingtième siècles ont dominés l'actualité aussi bien cinématographique que politique. Mais le grand massacre de l'Afrique a enfin son film qui permettra à tous d'entamer une réflexion sur les juste compensation que ce continent devrai recevoir pour tant de misère apportée par l'homme blanc et sa civilisation. A voir, vite, vous aller bien vous amuser tout en abordant une histoire méconnue et instructive.
La régate (2009)
It's so difficult to be a father
This film is rare, and it is not easy. One attends all the way along account an ill-treatment which revolts us. One wants to shout for Alexandre, one wants to push back this unworthy father. But it is not so simple, the child loves his father and the father loves his son, but it do not have any means of being able to say it. How this father could it give love whereas it does not have any for him even. Its life is made only frustrations, that it will drown in alcohol when that is too badly. The son, he is alone, the sport is his only exit, his only hope to be able to exist.
Thierry Hancisse is terrible in this role, one hates it, but it is felt sorry for. There are a few pieces of lived sound which arises in this play difficult to like and to be violent with that which one likes.
Joffrey Verbruggen in the role of Alexandre returns to us in front of all these friends, whom we had children, and who never acknowledged us that they had unworthy parents. The years passers by, we discovered, like Sergi Lopez, the trainer of Alexandre, that this silence and this violence, hid a situation impossible to express.
One knows a whole a Alexandre and Thierry, one would like that Sergi a little more often exist in their life.